AUTOMED 2 : Enquête sur l’usage de l’automédication au sein des centres hospitaliers canadiens

L’automédication permet d’impliquer le patient de façon active dans sa thérapie médicamenteuse. Par opposition à la dispensation traditionnelle effectuée par l’infirmière, l’automédication permet au patient d’acquérir ou de préserver son autonomie, d’améliorer ses connaissances et de faciliter la gestion de sa médication lors du retour à la maison.

Au CHU Ste-Justine, un programme d’automédication en obstétrique-gynécologie post-partum existe depuis 2003. Dans le cadre des travaux de l’URPP et de l’évaluation de ce programme, nous avons cherché à établir un portrait de l’utilisation de l’automédication au Canada.

Parmi les répondants, plus de la moitié (65%) des hôpitaux ont implanté un programme d’automédication (principalement en obstétrique-gynécologie) entre les années 1993 et 2012. On compte en fait un total de 26 programmes d’automédication avec des différences au niveau des procédures et du contenu. Sept programmes ont fait l’objet d’une évaluation dont les résultats ne sont toutefois pas publiés.

On peut consulter l’affiche présentée dans le cadre du Congrès de l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec du 15 au 17 avril 2015 à Québec, Qc, Canada.automed2

 

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