Bilan comparatif médicamenteux : un portrait de la pratique dans les hôpitaux du Québec

Une pratique hétérogène de la conciliation médicamenteuse mène à réduire la conformité de cette dernière. Au Québec, plusieurs études ont été publiées sur la thématique des bilans comparatifs médicaments (BCM), or il n’existe pas de portrait réel des pratiques actuelles au Québec.

Dans le cadre des travaux de l’URPP, nous avons réalisé une étude descriptive dans le but d’exposer la pratique du bilan comparatif des médicaments dans les hôpitaux du Québec en 2016 et d’obtenir l’avis des pharmaciens sur son état actuel et son évolution.

Ainsi, 10 éléments ont été comparés : les rôles et responsabilités des différents acteurs, les résolutions des divergences, la nécessité de recruter du personnel, les outils nécessaires à la réalisation, l’informatisation des données, les indicateurs de qualité, la certification et les formations nécessaires, l’encadrement, l’évolution souhaitable de la pratique, les politiques et procédures encadrant.

Alors que différents acteurs peuvent participer à la démarche du BCM, il s’avère que, pour la plupart du temps, c’est le pharmacien qui participe à la réalisation du meilleurs schéma thérapeutique possible (MSTP). Pour sa part, le médecin semblent moins s’impliquer dans cette tâche. Les infirmières et les assistants techniques en pharmacies ont, quant à eux, des réponses divergentes sur leur rôle.

Pour plus d’information, on peut consulter notre article publié dans le Pharmactuel.

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