Depuis la parution de la dernière édition du carnet des antidotes, certains pharmaciens de plus petits centres hospitaliers ont évoqué la difficulté d’établir la quantité minimale à conserver dans leur centre compte tenu de leur situation. Doit-on stocker tous les antidotes proposés à la quantité minimale indiquée pour éviter tout risque clinique ou juridique? Ce commentaire vise à rappeler et préciser les éléments à considérer afin d’établir l’inventaire minimal approprié à chaque centre.
Vous pouvez consulter l’article publié dans le Bulletin d’Information Toxicologique de l’INSPQ.